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AC/DC.

Un souffle chaud, rauque, chargé d’électricité. Une image des antipodes débordante d’énergie qui balaie tout sur son passage et se joue des distances.

Si la Haute-Normandie demeure loin du bush, nombreux sont ses habitants à connaître la signification de ces quatre lettres. Un soir d’été 2014, cinq d’entre eux décident de rallier la cause du Rock ’N Roll Down Under. Un nom est choisi.

LET THERE BE ROCK

Une étincelle les anime.

Des petits bars où suinte le binaire tant aimé aux plus grandes scènes de la région, ils font passer le message depuis des années : leur amour pour le rock ‘n roll n’est pas un vain mot.

Il va jusqu’à pousser Marc – d’ordinaire marteleur de fûts des plus solides – à endosser la casquette de hurleur en chef.

Qu’on ne s’y trompe pas. Ces hurlements sont de ceux qu’on aime entendre. Ils transpercent le mur de la rythmique, cisaillent le canevas des guitares.

Les guitares, parlons-en. D’un côté, Fabien, un Authentique rocker qui se met à nu chaque fois qu’il tord le barbelé de sa SG pour tricoter riffs et solos effrénés. De l’autre Emmanuel, par ailleurs confectionneur de nappes et dresseur de volatiles légendaires, lui-aussi bien déterminé à mener le train du rock ‘n roll à destination.

Section rythmique : Yannick et Loïc. Mais de hic il n’y a pas. Toujours au devant de la scène – surtout quand ils turbinent au fond du temps – les deux lascars ajoutent un chapitre au recueil du rock made in Rouen. Après les Clenches ou Victoria, pour ne citer qu’eux, ils font désormais résonner un nouveau nom, telle une cloche démoniaque.

Le répertoire se densifie. Le spectacle se met en place. L’envie de monter sur scène s’amplifie. Envie de transmettre cette passion pour la musique des Boys.

Dorénavant, partout où sera demandé Let There Be Rock, le rock sera !

 

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